Demi Tour du Mont Blanc

Les années se suivent mais ne se ressemblent pas, mais cette année nous avons eu un temps magnifique tout au long de nos 4 jours.

Départ de Rajat à 7h du matin pour les Houches et le téléphérique du Prarion. Descente du col de Vouza ves Bionnassay et Champel puis remontée, un peu rude vers les chalets de Miage pour le pique nique et le café. Remontée sur les chalets du Truc puis sur les Contamines Monjoie .

l’UTMB commence à 17h et c’est justement à ce moment qu’on commence la montée vers notre refuge du soir, Nant Borrant. Une belle adresse, très classe et vraiment sympa sur le TMB, c’est vraiment un bel endroit et la gardienne est accueillante . Un joli repas et à 20h27 le premier participant de UTMB et l arrivée de François D’Haene, fringant juste derrière, grande classe.

Le lendemain départ pour le col du Bonhomme puis le col de La Croix du Bonhomme avec la perte de Arlette qui n’a pas vu la bifurcation du TMB , petit moment de stress , vite dissipé. Puis descente sur les Chapieux pour une soirée à la Noba avec un gérant un peu « Space » surtout pressé de tout fermer ( bon travailler 3 mois l’été ça suffit) donc très cher par rapport à son niveau de service ( au royaume des aveugle les borgnes sont rois).

Transfert vers les Mottets et ascension du col de la Seigne , puis suivi de la courbe du niveau jusqu’au Col des Chavannes. Suivi de la piste vers le Mont Fortin, et sa descente , très montagne.

Des la récupération du , TMB et le passage de la crête du Mont Favre, descente interminable sur le plan Checrouit, pour notre dernière soirée en Italie: pâte, et un accueil à l italienne.

Le lendemain petite ascension matinale vers le Mont Chétif pour faire quelques photos des premières lumières du matin sur la Noire de Peuteurey et le Mont Blanc, et surtout ne pas oublier son fond de sac…

Descente interminable vers Courmayeur pour un petit café au soleil (un standard en Italie) , une petite visite de la ville et un retour en bus vers Chamonix.

Demi-tour du Mont Blanc 2021

Mis en avant


Après une session 2020 avorter à cause de la météo exécrable, on remet ça en 2021 avec un nouveau parcours, toujours orienté montagne du 27/08/2021 au 30/08/2021

J1 : Les Houches aux Contamines : la première montée sera réalisée avec le téléphrique de Bellevue puis descente sur les hameau de St Gervais et remontée sur les Chalets du Truc puis descnete sur les Contamines où on montera au refuge du Nant Borrrand à partir de Notre Dame de la Gorge : 15 km +900 -1100 m de denivellé

J2 : Le plat de résistance puisqu’on remontera la Val Monjoie et on passera près des lacs Jovet pour arriver au col du Bonhomme, et en fonction de la météo et des forces en présence, nous irons jusqu’au col des Fours : 15 km + 1000m -900 m sur l’option de base.

J3 : Passage au point culminant de notre périple par le col de la Seigne et passage dans le Val Veny haut lieu de l’alpinisme italien pour une escale au hameau de Maison Veille : 19 km +1200 m -1100 m

J4 : Mont Chetif puis descente sur Courmayeur et retour sur les Houches : 6 km + 500 m – 900 m.

Bien sur ce parcours est donné à titre indicatif et pourra être adapté en fonction de l’état de forme de chacun et de la météo

Tarif : 350 EUR (acompte 80 EUR et le solde avant le départ)

Un demi demi Tour du Mont Blanc

Le trek sur 4 jours de cette année était prévu sur le Tour du Mont Blanc avec les étapes Les Houches-Miage, Miage-La Balme, La Balme-Les Mottets et finalement Courmayeur. Ça c était le plan d’origine…..

Le premier jour il y a toujours un petite surprise, cette année c’était Marie qui a oublié ces chaussures de montagne et donc nous sommes partis à 7 dans le bus (Marie nous a rejoint en haut de Bellevue par le téléphérique) et nous avons retrouvé les Guerrero aux Houches. Le départ du parcours commence par 800 mètre de dénivelé, une montée très régulière et à l’ombre. Pendant la montée nous sommes rattrapés par Antoine le fils d’Odile qui se fait un petit entraînement avec nous. Arrêt pique-nique a Bellevue, où nous récupérons Marie et ses chaussures et départ vers le Col du Tricot. Passage par la passerelle au dessus de l’ancien glacier de Bionnassay. Superbe montée et un temps extra juste au pied du refuge du Goûter. Au col du Tricot on surplombe le hameau de Miage, le terme de notre première journée. Au final + 1300 m positif et 800 négatif, autant dire une bonne première journée . Le refuge est plutôt sympa, manque juste une douche supplémentaire mais surtout on a eu une super tarte a la myrtille de la folie…rien que pour ça, ça vaut le détour.

Pour le lendemain on nous annonce la pluie à partir de 13h , mais ça n entache pas notre entrain pour passé au chalets du Truc et monter jusqu’à Tré la Tête qui nous accueille (moyennant consommation : on est privé , il faut bien vivre…vive les hauts savoyards) dans un refuge bien au chaud, et à partir de la descente la pluie n’a pas cessé jusqu’au soir.

On est donc arrivé au refuge de la Balme tous trempés jusqu’au os, et on était logés dans la grande chambre sans confort et comble de tout pas de séchoir. C’est vraiment le refuge au service minimum. Et les prévisions météo pour les jours à venir sont loin d’être optimale : pluie pour lendemain et neige pour le jour suivant. Après une nuit de réflexion, je décide de redescendre aux Contammines et d’aller rechercher les véhicules aux Houches. Cette décision est difficile mais je ne sentais pas le groupe passer par le Col de Seigne sous la neige après 2 jours de pluie, il faut que ce moment reste un plaisir…on aura bien l’occasion d’y retourner sous de meilleurs hospices.

Bon donc transfert vers le Cornet de Roselend et les Chapieux. Arrivée aux Mottets et après la prise de possession de nos confortables chambres, on repart avec quelques motivés vers le col de la Seigne. Et on arrive à 150 m (de dénivelé ) du Col avec Caro, Odile et Marie et bientôt rattrapés par Michel qui c’est fait une montée express.

Pour le lendemain j’ai plusieurs options une montagne avec le col et le lac du Mya ou faire une rando sur la Grande Berge ou le Rocher du Vent au départ du Plan de la Lai. Mais tout ça dépendra de la météo et une nouvelle fois on c’est levé avec la pluie….

Donc on redescend vers les Chapieux par le nouveau chemin, sous une pluie bien froide et on arrive aux voitures à nouveau bien mouillé. A nouveau transfert vers le Pan de la Lai sous un déluge de neige mouillé. Café bien chaud au plan de la Lai et donc personne ne veut se remettre sous la pluie, donc on repart à Beaufort pour un razzia à la fromagerie .

De retour sur Lyon en début d’après-midi. Une chose est sur , c’est que l’ambiance du groupe n’a pas été touché par la météo plus que difficile.

La conclusion est aussi une promesse pour l’an prochain, on y retournera avec un nouveau parcours et la possibilité de rejoindre enfin Courmayeur.

Pic du Mas de la Grave et plateau d’Emparis

La Meije et le Rateau vue du Plateau D’Emparis

Le dernier WE avant le covid 19 était un bon souvenir pour tous mais je pense que ce périple au départ du Chazelet restera un bon et grand moment de l’année. Déjà par environnement, le village est logé au dessus de la Grave au pied du Lautaret avec comme decor les vallons de la Meije, juste magnifique, et pas une minute de ce paysage ressemble à l’autre, un pur moment de bonheur.

Samedi nous partons pour le plateau d’Emparis via le col du Chicot et déjà les premières gouttes nous accompagnent laissant rapidement la place au soleil pour le pique nique face a ce paysage majestueux. Direction le lac de Lérié, un grand classique du plateau d’Emparis, et à nouveau le ciel est menaçant. En fait on a passé la journée à enlever et mettre notre veste de pluie. Marie qui a du mal à suivre mais s’accroche au groupe, malgré une évidente difficulté à respirer et à produire un effort. Une pause s’impose à la Brèche avant de redescendre vers le refuge du Mas de la Grave. Le chemin n’est pas évident à suivre mais qu’importe on descend à travers les pelouses tapissées de fleurs. un pur régal.

Le refuge de Pic du Mas de la Grave a été réhabilité à partir de 2016 par 2 habitants du Chazelet, une belle et grande réussite qui est gérer de main de maître par Cécile, une jeune gardienne qui avec son copain Jean Marc qui font bien vivre ce beau refuge (un vrai coup de cœur de tous). Un endroit à conseiller sans modération.

Dimanche départ à 7h30, Michel a eu raison de mon enthousiasme à vouloir partir tôt. La nuit fût assez bonne sous la tente avec Caroline car nous nous avions été expédiés dehors, à cause de la limitation des places dans la refuge (covid19 oblige). 1 100 mètres de dénivelé du refuge au sommet et ça commence plutôt cool jusqu’au chalets de la Buffe avec nos « copains » patous. Montée jusqu’au Agnelé où on fait un pause sucre pour attaquer les 500 derniers mètres et déjà le souffle est plus court. A partir de là les choses sérieuses commence, j’ai l’habitude de dire qu’il n’y a pas de 3 000 facile, ça se vérifie un nouvelle fois. Michel (oui celui qui nous a fait lever 1 heure plus tard) c’est arrêté 2 heures plutôt que tout le monde, une « Michel » pour me faire monter dans les tours, et ça marche à tous les coups.

Pour tous les autres de la sueur , le cœur qui bat de plus en plus fort et de plus en plus vite, et au bout l’ultime bonheur d’être arrivé au sommet.

une vue à 360° sur les Massifs des Grandes Rousses, les Aiguilles d’Arves, la Meije (le Agneaux un peu plus loin) les Cerces, la Vanoise et même jusqu’au Mont Blanc (Bon dans les Alpes on le voit de partout). 3h15 du refuge pour monter à 3020 mètres , un bel effort récompense par une vue magnifique.

La Meije le matin

Redescente en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, pour retrouver Michel et Marie restée au refuge. Une bière salvatrice pour beaucoup et retour express vers le Chazelet. C’est dommage que ce magnifique endroit soit si loin mais on c’est promis d’y revenir en hiver pour faire de la raquettes et retrouver nos hôtes du refuge

Val Ferret sous son plus beau jour…

Le groupe au grand complet et y a du sourire

Et pendant la semaine précédente à ce week-end , j ai eu le refuge qui me prévenait gentiment que la route du Val Ferret était fermé à cause de la chute imminente du Glacier de Planpincieux ( qui n est toujours pas tombé depuis), donc le week-end commençait par un grand brainstorming pour changer notre itinéraire, en plus d’une météo exécrable annoncée.

Autant vous dire que l’ambiance du départ était marquée par ces nouvelles un peu lourdes et le trajet sous les nuages jusqu’au tunnel du Mont-blanc était calme. Et miracle de la montagne et des prévisions météo, grand soleil à la sortie sur Courmayeur

Col au dessus de Bertone et premire vue sur le Mont Blanc

On laisse les voitures au Raffort, pour monter au refuge Bertone par un chemin très régulier pour le pique nique face au Mont Chétif et au Val Veny, et c’est à ce moment que nous avons la première vue sur le Mont Blanc, majestueux…

Et partir du refuge Bertone, jusqu au refuge Bonatti on reste sur la courbe de niveau, ou presque, puisque les petites montées et descente nous « coûterons » 300 mètres , de plus que les 700 m de Bertone.
Avec la fermeture du val Ferret, les tours du Mont Blanc ce sont arrêtés, et donc il n y a plus grand monde sur le chemin et même jusqu’au refuge où il n y a qu’une vingtaine de personnes.
Par contre le spectacle est unique, ce massif dû Mont Blanc, rassemble en un lieux tout ce que la haute montagne a de plus grandiose…Imaginez 4000 mètre de montagne au dessus de vous , avec des glaciers énormes, des aiguilles de granites qui coupent les étendues blanches et grises, et au dessus du bleu….comme dans un rêve .

Philippe face aux Grandes Jorasses
Sur le sentier en Balcon

Le refuge Bonatti s apprête à fermer à cause de l arrêt des tours opérateurs qui sautent l étape du val Ferret. Comme tous les refuges italiens le repas est vraiment copieux et de qualité.

Pour le lendemain et comme j avais vu que tout le monde était au top de sa forme , j’avais prévu au départ d’allez au Grand Col Ferret mais c’était avant notre changement de programme. Donc nous partons le dimanche matin vers le cirque de Malatra et passons par le col d’entre deux Sauts (ou Sex suivant les cartes) pour redescendre vers la combe D’Arminaz et remonter jusqu’à la Tête de la Tronche à 2581 m puis descente par la crête jusqu’au refuge Bertone et jusqu’au Raffort avec le regard posé en permanence sur le panorama du massif du Mont Blanc…féerique

Lac au pied du col entre 2 Sexes

On pourrait résumer le WE au dénivelés réalisés (J1 + 900m et -400 m et J2 +900 et -1500 m) mais l’intérêt était tout autre

C’est à cause de lui qu’on a changé tout nos plans

Tour de Chamechaude

C’est clandestinement que je poste les photos de cette super rando vertige réalisée avec Ma Dame, mais qui vaut vraiment le coup à condition de l’on supporte le vide et les petits passages un peu « olé-olé ».

Départ du col de Porte puis montée jusqu’au refuge de Bachasson et de là cap au sud pour contournée le monolithe urgonien de Chamechaude jusqu’au Habert de Chamechaude. De là on poursuit au nord sur un bon sentier qui traverse quelques ravines impressionante sous le couloie en Y avant de nous amener au pied du Jardin. 2 Petites longueurs d’escalade et nous voici arrivé sur le replat du Jardin et ses pins à crochets. Le retour sur le face ouest surplombe une magnifique falaise laissant apparaitre les marques du travail d’erosion du glacier. Retour par le Folatière.

dénivellé total de 1000 métre mais en plusieurs fois ce qui en fait un randonnée très agréable.

 

La pause s'impose avant l'escalade

La Brêche Arnaud vu du Habert

Le pas est sur...il vaut mieux

Arrivée au Jardin

Into the wild

Chamechaude du col de porte

Petits conseils Randozen

Quelques conseils Randozen pour l’équipement

> Pour la tête
• Un bonnet. On perd beaucoup de chaleur corporelle par la tête (presque 25 % !), aussi un bonnet pour les soirées et les nuits fraîches est parfait.
• Un chapeau en toile foulard, une casquette…
• Lunettes de soleil et étui.

> Pour le buste : un seul mot d’ordre le concept pelure d’oignon (superposition de couches fines)
• première couche : T-shirts.
En hiver le coton est à proscrire car il sèche très lentement. Par contre l’été dans certaine conditions ça peut être un avantage car il retient l’humidité, mais il faut le changer dès qu’on s’arrête.
• T-shirts à manches longues.
On préférera les nouvelles matières qui évacuent la sueur vers l’extérieur et sèchent rapidement, alors que le coton reste humide et accentue la sensation de froid.
• Deuxième couche : type polaire.
• troisième couche : Veste.

> Pour les jambes
• Collants. Un collant en polaire qui ne serre pas est confortable et utile en complément de chaleur dans le duvet. Il peut même doubler le pantalon en cas de grand froid.
• Pantalon.Un pantalon Stretch ne limite pas les mouvements, il est idéal pour le trekking.
• Un bermuda long ou un pantacourt.
Dans la plupart des pays, les shorts sont à proscrire ; en revanche, un pantacourt (pour les hommes et les femmes) est généralement bien accepté des populations locales.

> Pour les pieds
• Chaussettes: « Qui veut aller loin ménage sa monture » il est primordial de changer ses chaussettes tous les jours, l’acide de la transpiration favorise les ampoules.
• Chaussures de randonnée:  Au-delà de la tige montante et de la semelle (qui protègent respectivement les chevilles et la plante des pieds), il est très important de ne pas partir en trek avec des chaussures neuves. Les ampoules aux pieds gâchent le plus beau des voyages.
• Sandales ou tongs : Pour le soir à l’étape, bien sûr. On peut aussi les glisser dans le sac à dos de la journée pour aérer les pieds à la pause de midi.

> Pour les mains
• Gants légers : polaire, Stretch.
Il en est de même pour les mains que pour le buste, favoriser le superposition de couche. L’air chaud est le meilleur des isolants

> Sac à dos
• Sac à dos de randonnée léger, 30 à 40 litres.
Un sac à dos de cette contenance permet de prendre ce qu’il faut pour une journée de trek : vêtement de pluie, vêtement chaud, petite pharmacie, gourdes, bouquins… Et éventuellement une partie du pique-nique.> Sac de voyage
• Sac de voyage souple sans roulettes, 70 à 90 litres.
Un sac souple est idéal pour ne pas blesser les animaux de bât ; en revanche, si le transport des bagages d’une étape à l’autre s’effectue en véhicule, il ne faut pas se priver de prendre un sac avec des roulettes, de loin plus pratique pour les déplacements dans les gares et les aéroports.> Sac de couchage
• Duvet-sarcophage.
• Drap-sac en soie ou en polaire.
Le drap-sac permet de ne pas salir le sac de couchage à l’intérieur, et apporte un surcroît de chaleur très sensible.
 > Tente.
Si une tente dite “trois saisons” est suffisante pour la plupart des destinations de trekking sous toutes les latitudes, il est préférable d’acquérir une “quatre saisons” si l’on souhaite randonner en hiver (neige) par grand froid (destinations nordiques) ou en altitude (treks himalayens).> Divers
• Bâtons de marche.
• Fil et aiguille.
• Trousse de toilette.
• Serviette.
• Pastilles pour purifier l’eau (Micropur ou Hydrochlonazone).
Le goût que donnent ces pastilles est supportable, mais si vous voyagez plus de trois semaines dans une zone où il faut traiter l’eau, l’achat d’un filtre céramique devient indispensable.
• Sachets plastiques de protection (type congélation).
• Couverture de survie (modèle renforcé).
• Gourde ou gourde flexible à pipette.
• Couteau.
• Lacets de rechange.
• Briquet.
• Papier toilette
• Appareil photo.
• Livres de voyage.
• Lentilles jetables ou lunettes correctrices de secours.
• Lampe frontale et piles.> Pochette antivol et documents
• Passeport (ou carte d’identité).
• Visa selon le pays.
• Carnet de vaccinations et indications médicales.
• Devises, carte de crédit.
• Contrat d’assistance et d’assurance.
• Papiers personnels.

Les autres conseils à lire
En cas de pluie sans vent, un grand parapluie type parapluie de golf est idéal en terrain dégagé. Il permet même, en le calant entre le dos et le sac à dos, d’avoir les mains libres pour prendre des photos ou lire la carte. En revanche, son utilisation devient plus problématique en terrain accidenté et en cas de vent.L’association d’une veste et d’un pantalon de pluie en tissu respirant comme le Goretex (laissant libres les mouvements) est idéale. La cape de pluie étant réservée aux pauses : abri parfait pour grignoter sous une pluie battante, ou protection intégrale pour monter la tente à l’étape.Un sursac pour recouvrir et protéger le sac à dos et son contenu est indispensable par temps humide. Beaucoup de sacs aujourd’hui en sont pourvus, sinon il est possible de se procurer un sursac amovible dans les magasins de sport.
L’utilisation de sacs de type congélation permet une protection totalement hydrofuge de l’appareil photo comme des documents papiers (passeport, billets d’avion, etc.)Une paire de sandales de marche est toujours utile, soit pour le soir à l’étape, soit en cours de randonnée pour le passage à gué des rivières. Elles servent aussi en cas de grosse ampoule pour pouvoir continuer à marcher.Le couteau suisse convient à tous les usages : ouvrir une bouteille ou une boîte de conserve, visser une dragonne de bâton… Il est de loin le plus universel (malgré l’inconvénient du poids).

Les bâtons de marche sont indispensables pour soulager les genoux dans les descentes et aider au rythme de la randonnée dans les montées. En revanche, il faut absolument marcher avec les deux pour respecter la symétrie du mouvement.

Une gourde-pipette permet de s’hydrater régulièrement sans pour autant poser son sac à chaque fois. Le seul inconvénient de ce système est que l’on se retrouve à court de boisson sans pouvoir l’anticiper. Une bouteille plastique de secours permet de palier ce désagrément.

La température de confort du sac de couchage est fonction du type d’hébergement et de la destination.
L’idéal est d’avoir deux duvets :
— un premier dont les températures de confort sont comprises entre – 5 et + 5 °C pour les hébergements en dur et les pays chauds ;
— un deuxième pour les pays froids et/ou les hébergements sous tente. Température de confort comprises entre – 15 et – 5 °C.
On peut aussi ajouter au premier duvet un sac de couchage en polaire pour augmenter le niveau de confort et de chaleur.

Les petits objets qui facilitent la vie pendant un trek ou un voyage :
– Un adaptateur de prise électrique (il n’existe pas de norme internationale en matière de prise électrique, aussi un adaptateur est-il indispensable dès qu’il faut recharger une batterie d’appareil photo numérique, un lecteur MP3…).
– Une deuxième gourde pour laisser le temps aux pastilles de purification de l’eau d’agir sans se priver de boire.
– Un briquet pour brûler le papier toilette.

Week-en et Séjours

 Nuit en Montagne (Tente ,Refuge ou à la belle étoile)

Quelque soit le massif, il n’ y a pas meilleure immersion que de passer une nuit en montagne.

Les références de nos vies quotidiennes sont oubliées pour revenir à l’essentiel et ne faire qu’un avec la nature. Préparer son repas, faire un feu, se préparer un nid douillet pour la nuit. On repart à zero et on fait le plein d’énergie.

 

Tour du Mont Blanc

C’est l’un des sentiers de longue randonnée les plus populaires en Europe. Il encercle le massif du Mont-Blanc, parcourant une distance d’environ 170 km avec 10 km de dénivellation totale en montée à travers une partie de la Suisse, de l’Italie ainsi que de la France.A votre rythme, en utilsant au maximum les variantes les moins fréquentées. Trek mytique des Alpes entre France- Italie et Suisse, c’est une expérience de montagne unique. Des paysages à couper le souffle, le partage de la vie en groupe et un engagement

 

Remise en forme dans le Jura
Au coeur du Parc Naturel du Haut-Jura, nous vous proposons un séjour alternant différentes activités encadrées en gîte, idéal pour prendre un bon bol d’air !
Durant votre séjour, demi-journées d’activités encadrées vous sont proposées: Randonnée, raquettes (en hiver), nordic walking, stretching, relaxation.
Lors de ce séjour, nous découvrirons la crête sauvage du Haut Jura belvédère de 10 kms qui nous offre un point de vue incomparable sur le bassin genevois et le Mont Blanc. Nous sommes ici sur les terres des bergers et des grands espaces.

Randos journée

 

 
 Lors d’une fête de famille, un anniversaire insolite, le lendemain d’un mariage, ou pour tout autres occasions festives nous vous préparons une randonnée ensemble dans une région de votre choix. Nous discutons de l’itinéraire et vous choississez si vous le souhaitez les animations à intégrer (faune, flore, patrimoine …) Votre esprit est ainsi libéré de la partie animation de vos convives.
Vous souhaitez organiser un moment de convivialité pour votre famille ou vos amis, nous vous proposons des activités diverses où chacun pourra participer, sans esprit de compététion, mais dans le simple objectif, de prendre du plaisir et chercher la convivialité.
 
          • un parcours ludique d’orientation
          • une chasse au trésor sur le patrimoine
          • moulages de traces
          • un mini safari photo fleurs

Vous souhaitez aller à la découverte de la faune et la flore de montagne soit pour tenter de la voir, soit pour suivre les indices de présences (plumes, traces, poils…), nous vous orienterons vers les meilleurs endroits où il est possible de prendre contact dans le respect de chacun. N’oublions jamais qu’au milieu de la nature nous ne sommes que des invités

 

Chamois

Sabot de Venus

Points de vue

Quelques jolis points de vue …………………….
 Calanques  : A partir de la Marseille ou de Cassis, nous irons à la découverte de ce lieu exceptionnel ou la faune et la flore peuvent se développer grace à la situation si particulière de cet endroit. Pour la quiétude de tous nous éviterons les période de forte fréquentation (Juin-juillet) 6h00 et + 400 m de dénivellé 25 € par pers. Départ assuré à partir de 6 personnes
   Le grand Gabizos . A la limite du Parc National des Pyrénes nous passerons vers les pelouses à marmottes avant l’ascension par le col d’Uzious et le pic de Louesque. Cette ascension offre une vue exceptionnelle sur la chaîne pyrénéennne et la diversité de ses paysages.  9h00 et + 1300 m de dénivellé  25 € par pers.Départ assuré à partir de 6 personnes
 Le Taillefer. Considéré par les grenoblois comme « le sommet » à faire. Offrant un panorama sans égal sur l’Oisans, le Vercors, Belledonne et les Ecrins. Ce sommet « facile » au départ du lac de Poursollet en passant par les alpages du lac Fourchu permet accéder à la haute montagne et à l’évasion nature   9h00 et + 1300 m de dénivellé ou sur 2 jours avec bivouac au lac Fourchu  25 € par pers.Départ assuré à partir de 6 personnes
 La randonnée incontournable de l’Oisans ! Le Lac Lauvitel (1510 m) est l’un des plus beaux sites de l’Oisans. Au départ de la Danchère nous rentrerons dans le Parc des Ecrins pour voir ce bijou de nature préservée. 4h00 et 250 mde dénivellé  20 € par pers. Départ assuré à partir de 6 personnes
 Coucher de soleil à Chamechaude : Randonnée avec un départ en fin d’après-midi pour voir le ciel lentement se teinter de rose pour disparaître derrière le Vercors.Descente de nuit à la lueur des frontales. Ambiance et émerveillement assurés !!  4h00 et 500 m de dénivellé  20 € par pers. Départ assuré à partir de 6 personnes